Qui est l'ostéopathe Gérard Longuet ?

“Dès l’âge de 8 ans, mon intérêt pour les perspectives de guérison par la main commencent à s’éveiller suite à une consultation familiale chez un « rebouteux ». La suite s’enchaîne avec une succession ininterrompue de rencontres et d’amitiés qui ont suscité ma vocation et m’ont donné envie de partager cet univers thérapeutique manuel, si riche en enseignements…”

Un parcours initiatique : de la guérison par la main à l’éveil de la conscience

Dès l’âge de 8 – 10 ans, mon intérêt pour les perspectives de guérison par la main commencent à s’éveiller suite à une consultation familiale chez un « rebouteux » du centre de la France. Cette première rencontre fortuite éveille en moi un intérêt certain : une sensation nouvelle et inhabituelle que j’identifie très clairement, à l’époque, comme fondatrice d’une intense curiosité. Cet intérêt marqué qu’ont les enfants pour la découverte fût attisée et renforcée à nouveau vers 16 ans par la rencontre d’un autre «rebouteux remarquable», le grand père d’un ami d’adolescence.

 

Dès les années 1980, mon esprit de recherche et mon désir d’apprendre sont devenus les points d’orgue de ma vie en m’amenant à faire de nombreuses rencontres remarquables. Mes amitiés m’ont naturellement conduit à partager mes idées avec des masseurs, des masseurs-kiné, des ostéopathes, chiropracteurs, étiopathes, magnétiseurs, thérapeutes manuels, « guérisseurs » de tous poils, européens, africains, d’ Asie de l’Inde, d’ Amérique centrale etc… , d’horizons très différents…

 

Des rencontres plus ou moins heureuses, souvent farfelues, souvent géniales toujours riches d’enseignements, originales et inspirantes. Tous ont participé et contribué à soutenir ma vocation, stimuler mon intérêt et ma recherche et aider à structurer ma pratique et à développer mon désir de comprendre

Une trajectoire personnelle et intérieure atypique

A onze ans, par un après-midi d’été ensoleillé au bord de la Saône, il se baigne malgré l’interdit parental et coule à pic au fond de la rivière. Incapable de nager vers la surface, les yeux ouverts, il voit le soleil miroiter dans l’eau, les algues danser, perçoit les cris de ses proches. Il a la conscience aiguë d’être en train de mourir et se laisse pourtant aller à une paix lumineuse lorsque des bras vigoureux l’arrachent in extremis à cette « confortable quiétude ».

Cet événement déclenchera en lui une interrogation sur l’existence de phénomènes paranormaux. Ceci est progressivement renforcé par une prise de conscience de perceptions subtiles, extra-sensorielles, irrationnelles qu’il lui est difficile de partager avec autrui.

Il aime ainsi de plus en plus l’idée de pratiquer une forme empirique de guérison, qu’il s’autorise à teinter d’humour… Élevé dans la tradition catholique, il s’imprègne à l’adolescence du message délivré par les grands mystiques chrétiens et s’ouvre à leur compréhension, notamment celle, plus allégorique, de Saint François d’Assise qui le bouleverse, l’émeut et l’encourage à pratiquer quotidiennement ses méditations.

La découverte d'une vocation thérapeutique : l'ostéopathie

Durant toute son enfance heureuse, il consacre son temps libre à s’imprégner de la Nature, s’en inspire et goûte à la paix au point d’en ressentir une véritable exaltation. Il garde de ces années d’enfance dans la campagne, le souvenir d’une vibrante intensité à se construire.

Après un début de carrière dans l’immobilier en tant que directeur commercial d’un réseau d’agences, il ressent le besoin urgent de réorienter sa trajectoire professionnelle en accord avec ses aspirations profondes.

Le lien étroit qu’il entretient avec la Nature, la pratique régulière de la méditation et les enseignements qu’il reçoit de différents maîtres lui font progressivement envisager l’idée d’une réorientation professionnelle pour soigner dorénavant son prochain avec ses mains.

A 30 ans, il intègre un cursus d’ostéopathie et obtient son diplôme en 1991. Il travaille d’abord une dizaine d’année en région parisienne avant de s’installer dans son cabinet de La Fare-les-Oliviers près d’Aix-en-Provence où il exerce depuis.

Un lien entre les énergies subtiles et le soin par les mains

L’événement fondateur qui va l’ouvrir à d’autres formes de compréhension, a lieu lorsqu’il a 17 ans. Pour la première fois, il quitte sa famille et la France pour se rendre dans un village des Alpes autrichiennes, à la rencontre de Maharishi Mahesh Yogi. Au premier contact, il reçoit un choc : la révélation de son premier darshan, une forme d’implosion de la conscience subtile et intense qui le marquera à jamais.

Il consacre 25 ans de sa vie à suivre les enseignements du maître, effectue de nombreux et longs séjours dans des centres de méditation et des ashrams. Il s’implique dans l’étude approfondie des textes traditionnels et la pratique de l’expérience. Il enseigne bientôt la méditation dans le cadre du programme de l’Université internationale Maharishi en Suisse, un programme auquel participaient à l’époque des personnalités comme Deepak Chopra, David Lynch ou John Gray.

Sa pratique s’ancre et il établit des ponts avec ses expériences énergétiques subtiles antérieures.

Sans l’avoir cherché, il rencontre des dizaines de personnages extraordinaires qui influencent ses valeurs par leur subtilité et l’aident à gravir son chemin de connaissance de soi et de conscience :

  • Mère Meera dont l’enseignement repose sur la présence et le silence, l’art suprême de l’enseignement.
  • Les yogis Shankarananda Giri et Hariharananda Giri qui l’initient à l’enseignement des traditions authentiques de l’Inde, le Kriya Yoga, jusqu’aux contreforts de l’Himalaya. Des expériences sur la conscience et l’incarnation, aux antipodes du discours scientifico-ésotérique alors à la mode en Occident. Un enseignement spirituel de connaissances universelles qui l’accompagnent désormais au quotidien.
  • Le maître soufi Amadou Hampate Bâ, autorité spirituelle reconnue dans tout le monde musulman et Membre du Conseil exécutif de l’Unesco de 1962 à 1970, dont la force de conviction et la présence subtile le portent en tout instant.

A leur contact, il prend conscience que sa pratique peut s’appuyer sur toutes ces rencontres de vie acquises depuis plus de quinze ans et se consacrer à soigner ses contemporains avec les mains.

Un spécialiste du syndrome de KISS

Ce syndrome touche environ 5% des naissances et reste assez méconnu en France des ostéopathes, kinés ou praticiens de santé. Depuis quatorze ans, je travaille avec le Dr Larcher, à faire reconnaitre cette maladie. Elle est confondue à tort avec d’autres pathologies voire même tout simplement niée. On l’appelle aussi syndrome des bébés « virgule » ou en « C ».
 
 
 
 
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